La corrosion sous contrainte (ou CSC)[1] d'un métal ou d'un alliage résulte généralement de l'action conjuguée de trois facteurs :
Dans le domaine de l'industrie nucléaire, l'acronyme PWSCC est parfois utilisé, pour Primary water stress-corrosion cracking[2], que l'on peut traduire par « corrosion sous contrainte en milieu primaire ».
La CSC est un phénomène particulièrement insidieux : initialement très discret, il est ensuite difficile d'en prévoir la vitesse et l'intensité. Il est redouté car il peut aboutir à une défaillance soudaine et « catastrophique » du matériau (et ce, à une valeur bien inférieure à sa limite de résistance mécanique normale).
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